La cachette fut terminé e aux premieres lueurs de l'aube. C'é tait une aube mauvaise de septembre, mouillé e de pluie ; les pins flottaient dans le brouillard, le regard n'arrivait pas jusqu'au ciel. Depuis un mois, ils travaillaient secretement la nuit : les Allemands ne s'aventuraient guere hors des routes apres le cré puscule, mais, de jour, leurs patrouilles exploraient souvent la foret, a la recherche des rares partisans que la faim ou le dé sespoir n'avaient pas encore forcé s a abandonner la lutte. Le trou avait trois metres de profondeur, quatre de largeur. . .