Dans une société validiste qui n'en finit plus de tresser les injonctions en matière d'image, qu'advient-il de celles et ceux qui tombent ? Qui se préoccupe des corps ' invalidés ' : âgés, malades, traumatiques ou précaires, échouant à répondre aux codes de la beauté normative.
Cabaret interactif ou méga soin, Si Vénus avait su prend la forme d'une ode à nos vulnérabilités, à nos corps cicatriciels. Une ode aux socio-esthéticiennes aussi, qui consacrent leur vie au soin de l'autre et par qui le toucher devient une matière à tisser du lien social, pour apaiser. Réconcilier.